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Nous sommes immergés dans ce conte. Une reprise fabuleuse qui ajointe les morceaux.
« Emportements définitifs », écrit M.R. Qui lèse qui ? Quoi ? Quel dol ? Il faut que nous commencions avec la mort comme dans les Mille et Une Nuits. Conter : parler : discourir pour éviter l’échéance : le sentiment de la ferveur. M.R. a lu les Télémaques : ce livre est un classique, on va vers des terres « imposées, découvertes du large ». Sans guide. Sans mentor. Autre que la voix narratrice, conteuse et le « sentiment de la perdition ». Qui écrit : « ( je n’ai jamais pu déterminer l’arme du crime ) » est dans la justice du roman et de la littérature ( et c’est une histoire de métaphore ! )
L’histoire est l’histoire d’une mise à l’écart d’un je, après quoi le moi est l’abîme que j’écris : j’expose aux yeux un « paysage dévasté », ce paysage dévasté où se cache un tueur : enfances encore, couloirs, fourrés, épines, sombres galeries, et dédales comme chez Joyce ou... Fénelon ! |
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